La poésie peut-elle aider à sauver la terre ? Qui sait ? Au pire, elle ne nuira pas, au mieux, elle suscitera des réactions personnelles qui, ensuite, appuieront les mouvements écologistes. C’est cet espoir qui a incité les responsables de l’édition de la présente parution à faire appel aux poètes pour le Projet Terre.
Divisé en cinq parties, ce recueil aborde différentes facettes de la problématique que présentent les directeurs dans la préface.
« La terre de nos racines » ouvre la réflexion : « Je suis une animale sociale en déambule / une voix qui avance à travers le fleuve du social », affirme Chloé Sainte-Marie, appuyée par Zachary Richard qui rappelle l’ouragan Rita, Jean Marc Dalpé avec ses « Trois portraits par temps de peste » (le titre dit tout), et Daniel Lavoie qui s’interroge sur les façons de « s’en sortir ».
Les parties suivantes proposent un cheminement qui semble fonctionner par soubresauts : « Les mots de la terre », qu . . .
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