Pour beaucoup de gens, le socialisme se résume aux goulags sibériens, aux purges staliniennes et à la propagande d’État. C’est une espèce de croquemitaine dont on menace les égarés pris d’un penchant suspect pour l’égalité de fait.
Professeure à l’Université de Pennsylvanie, Kristen Ghodsee somme quant à elle de mettre les cris d’orfraie sur pause le temps de tirer quelques leçons des expériences passées du socialisme d’État.
Tout n’était pas si mauvais, en fait, rectifie la spécialiste d’études russes et est-européennes. À tout prendre, le . . .
Pour lire la suite, veuillez vous abonner. Déjà abonné(e) ? Connexion