La poésie de François Rioux est libre et ludique. Elle va là où on ne l’attend pas, dans l’insolite d’un quotidien très prosaïque, sans transcendance. Elle ne prétend à rien de sérieux. On y boit en pensant à ses amours perdues, on y chante, on y observe les gens, on y contemple un frigo vide. Ces sont des poèmes de lendemain de veille, quand les illusions qui nous avaient exaltés se transforment en un tas de vieux mégots. Dans le bruit ambiant et le brassage de choses, de produits, il . . .
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