Planètes regroupe 37 récits brefs dont l’esthétique repose sur la concision obtenue par la transgression : libertés prises avec la ponctuation, les règles syntaxiques et celles de la narratologie. Le résultat ? Un style vif, original, en harmonie avec le propos de l’œuvre, qui met l’accent sur ce que souvent l’on refuse de voir.
En effet, au centre de Planètes, un narrateur, un « tu », « je » masqué – façon d’interpeller le lecteur –, présent dans chacun des textes, entouré de personnages qui reviennent épisodiquement. Aucun n’est . . .
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