Un tableau de quinze musiciennes de jazz. Quinze femmes tombées dans l’oubli après une carrière où elles avaient pourtant fait montre d’un talent et d’une maîtrise hors du commun. Peut-être aurait-on mieux retenu leur nom si elles avaient été des hommes.
Comme le fait remarquer Gilles Archambault dans sa préface, Stanley Péan est en passe de s’imposer, non seulement comme animateur hors pair d’émissions radiophoniques consacrées au jazz, mais aussi comme véritable expert de cette musique. Dans un livre précédent, De préférence la nuit (Boréal, 2019), Péan nous offrait une déambulation dans l’univers de la note bleue, inspirée par le cinéma et la littérature, de même que par les liens entre le jazz et l’histoire des Afro-Américains. Cette fois, avec Noir satin, il s’agit de rappeler le parcours jazzistique exceptionnel de . . .
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