Au lendemain de la crise économique de 1929 et jusque dans les années 1950, on pourraitpresque affirmer qu’il existait une forme réduite d’« impérialisme culturel québécois » (toutes proportions gardées) qui envahissait partiellement les zones semi-urbaines de certains États de la Nouvelle-Angleterre afin de rejoindre la « diaspora des Canadiens français » exilés au nord des États-Unis.
L’essai de Pierre Lavoie, Mille après mille. Célébrité et migrations dans le Nord-Est américain, reprend et prolonge une thèse de doctorat soutenue à l . . .
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