Carlos Shulz, artiste milanais d'origine brésilienne, souhaite graver une danse macabre moderne. Il entrevoit déjà comment en illustrer plusieurs stations, mais le fil conducteur lui manque. La vie du mime Makarius pourrait l'inspirer, pense-t-il. Le souvenir de ce singulier personnage de cirque s'impose à lui. Il l'a connu dans les années 1950 à Rio, après le démantèlement du cirque Alberti, dans l'atelier du peintre Otto Gorz, son professeur, qui était aussi un vieil ami du mime. Quoique fasciné par le personnage, Carlos sait peu de choses à son sujet, si . . .
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