Andréa Werner est spécialiste des lieder romantiques et professeure au Conservatoire de Montréal. Elle doit dorénavant composer avec la « débâcle de Leipzig », moment clé de sa carrière artistique où une laryngite fulgurante a colonisé sa trachée en plein concert.
Loin des regards inquisiteurs des universitaires, elle se terre à la campagne et laboure le peu de souvenirs qu’il lui reste. Avoir perdu la voix devient le parfait prétexte pour retracer sa vie vouée à la musique, une vie entière tapie dans l’ombre des compositeurs que . . .
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