Étrangère à tout, à tous et aussi à elle-même, elle ne s’apparente qu’à la musique. C’est la seule vie dont elle entende le battement. Aux bars, elle demande les rencontres à éclipse, l’engourdissement de l’alcool et… la musique. Quand apparaît le vieux musicien, quelque chose s’éveille. Il lui offre son amitié, ses confidences. À deux, ils écrivent les paroles d’une chanson. En faut-il davantage pour que cette fille d’immigrant concilie son nomadisme avec l’insertion dans un temps et un lieu ? « Je n’ai pas vraiment de pays, écrit-elle, je suis une étrangère avec des racines de plus en plus profondes ». Le titre est juste, le ton respire l’honnêteté, l’écriture est une musique.
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