Non seulement les morts ne sont pas morts, mais ils parlent, ils plaident, ils exigent. On peut essayer d'endiguer leurs voix, mais ils pénétreront quand même à l'intérieur des pensées. Ce qu'ils disent, il faudra bien, tôt ou tard, l'entendre. Même s'ils demandent rien de moins que le don de la vie. En cela, ils sont cohérents : puisque les morts ne sont pas morts, les vivants n'ont pas à craindre l'heure de la mort.
En prêtant l'oreille aux morts qui ne sont pas morts, Melchior . . .
Pour lire la suite, veuillez vous abonner. Déjà abonné(e) ? Connexion