Au Canada anglais, on le surnommait affectueusement « Monsieur Canada » pendant la campagne référendaire de 1995, lorsqu’il s’opposait à la souveraineté du Québec. Et en 2022, on assiste au retour à la politique fédérale de ce « grand blond », toujours aussi charismatique chez les Canadiens.
Bien avant d’avoir écrit Sénateur, moi ? (La Presse, 2020), André Pratte avait brossé ce portrait laudatif de celui qui, en 1998, se lançait sur la scène politique provinciale à la demande (presque) générale, après avoir été ministre puis chef du Parti progressiste . . .
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