Au fil des pages, on a un peu l’impression de lire un Marc Aurèle contemporain. Pas tant pour le fond que pour la forme : enchaînement de textes plus ou moins longs (parfois une seule phrase, parfois plusieurs paragraphes) exposant des pensées qui semblent à la fois être venues spontanément à l’auteur et être le fruit d’une longue réflexion.
Mais contrairement à Marc Aurèle, le destinataire n’est pas l’auteur : on sent constamment le besoin de communiquer, et on a même souvent l’impression qu’il lui tardait de diffuser son point de . . .
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