On pourrait lire cette fable comme une attaque contre l’autoritarisme, l’utilitarisme aveugle qui sévit actuellement en éducation. Une attaque sentie, sensible, comme le fut, à une autre époque, celle que George Orwell livra contre le totalitarisme avec La ferme des animaux, satire du stalinisme et des dérives d’un régime aveuglé par la recherche du pouvoir, par son obstination à vouloir faire taire toute voix discordante. Là s’arrête la comparaison, volontairement grossie, mais les événements d’un passé récent et ceux qui pourraient bien se (re)produire dans un . . .
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