Treize experts exposent ici leurs réflexions sur « la légitimité et le contenu d'une politique linguistique favorisant l'essor de la langue française dans [la] société plurielle » qu'est le Québec contemporain. Un article rédigé par le professeur Michel Pagé, rattaché au Département de psychologie et au Centre d'études ethniques des universités montréalaises, à l'Université de Montréal, « a été communiqué [aux auteurs] par le Conseil supérieur de la langue française » du Québec et « a servi [...] d'amorce à la discussion » : « [...] notre centre d'intérêt », disent les éditeurs de l'ouvrage en introduction, « est le français en tant que langue commune de la communication entre les francophones et les personnes de langue maternelle autre que le français », c'est-à-dire, insiste-t-on, « le français en tant que langue prépondérante de la communication publique ». C'est la « réalité » abordée par le texte initiateur de Michel Pagé, qui opte « pour . . .
Pour lire la suite, veuillez vous abonner. Déjà abonné(e) ? Connexion