Cet essai, véritable cri de douleur, se répercute sans jamais perdre de sa force dans l’espace restreint d’à peine plus que le nombre de pages requis pour faire un livre. Jacques Beaudry donne très peu ici dans le registre de la mise en garde, ou de l’appel au sursaut salvateur. Il s’agit bien plutôt de la description d’une déchéance, d’une chute dont le vortex nous entraîne à notre perte et dans lequel il s’agit d’adopter une posture dont la qualité ne vaudra peut-être que pour elle . . .
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