Le journal de Jean-Pierre Guay est un chef-d’œuvre. Plus précisément, c’est un des rares chefs-d’œuvre de la littérature québécoise de langue française, toutes époques confondues.
Qu’il ait été loin de faire l’unanimité critique, aucune importance. Qu’il ait d’immenses détracteurs et peu de lecteurs, détail. C’est tout à la fois l’œuvre d’un mystique, d’un barjo et d’un enfant moqueur, une œuvre capitale, point, qu’apprécient ceux que la littérature personnelle et les projets baroques ne rebutent pas. J’ai lu deux fois ce Journal et je salue, à cet égard, l’initiative courageuse de François Tétreau.
Après une brève introduction à la vie et aux autres œuvres de son ami, Tétreau résume minutieusement Le journal, il le commente, en signale les points forts . . .
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