Cette œuvre posthume est à plus d'un titre représentative du panthéisme érotique et méditatif qui rend si particulier l'univers de François Augiéras. Intitulé dans sa première version L'histoire du petit porteur de pain, en référence à un jeune Algérien dont le souvenir hanta l'auteur, L'apprenti sorcier appartient aux « livres profonds, mais scabreux » dont Augiéras avait le secret. D'abord publié à l'initiative de Jacques Brenner dans Les Cahiers des Saisons (Julliard) en 1964, sous couvert . . .
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