Des images et des images qui témoignent de la spontanéité, de l’imagination et de la synesthésie de la narratrice, Miranda Simon, dix-sept ans. À l’aube de la vie adulte, Miranda en est à son quatorzième cahier.
Elle y dessine, décrit et raconte ses rêves et sa vie. La vie ordinaire d’une fille ordinaire que l’aptitude au bonheur métamorphose en être solaire. Le retour sur l’enfance dès le premier chapitre suggère que là a été semée la graine de la vie magique. Des parents qui s’aiment et qui l’entourent de tendresse, qui l’initient aux beautés de la nature, de la musique, qui encouragent sa curiosité et son goût pour le dessin et l’écriture ; bref, une enfance, tel un trésor, qui fera ressurgir la magie qui s’était endormie après le décès de sa mère alors que « [l]a beauté du monde était . . .
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