Sur la couverture du recueil, une œuvre de Toyen datant de 1937, « La femme assoupie », s'offre comme une clé. Une clé bien particulière qui ouvre sur un monde où « [a]voir un visage tient peut-être du luxe ». La peinture montre de dos une femme sans tronc ni jambes qui tient un filet à papillons. Un poème du recueil, qui porte le même titre, la décrit à sa façon : « Nous sommes plusieurs à faire ce rêve / À l'entendre effacer ses pas / Dans l'eau rampante des marécages / Aidez-moi le ciel ne descend pas . . .
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