Hippolyte Borgia Lazard a une pieuvre dans la tête. Comme sa mère, Ophélie Lazard. Dans le cas de sa mère, le processus est bien avancé. Dans son cas à lui, les manifestations de la bête sont encore sporadiques, quoique déjà inquiétantes.
Que fait cette pieuvre ? Elle confine sa mère à une petite vie tranquille, qui reste en contact avec la réalité mais de façon minimaliste. « Quand elle se décide à ouvrir sa bouche d’Ophélie Lazard, sa voix est reposée mais ses mots sont brefs et succincts, ils se suffisent . . .
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