La narratrice de La mort de Peter Pan nous entraîne dans une quête de sens, le sens de sa vie après la mort prématurée de Malcolm Wendell Walker, le sens de cette mort, et aussi de la vie de celui-ci. Elle surnomme « Malcommode » cet être singulier, à la fois redouté et terriblement attachant. Il a été son amant et leur amour, une suite de renvois, de rappels, d'embrasements, de refroidissements. Neuf mois après leur rencontre, Malcolm lui a faussé compagnie. Il a péri dans l'incendie que sa cigarette allumée et oubliée a provoqué. Depuis, le jeune homme de 30 ans, l'« Irlandais », bohème, buveur, boucher de profession, continue de la hanter, alors qu'elle a dépassé son âge et le siècle qui les a vus naître. Rien ne les délie.
Qui était vraiment Malcolm ? Pourquoi ce lien qui perdure ? La narratrice amorce une quête de sens qui ressemble fort . . .
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