« Je détestais ma mère parce que je la désirais de diverses façons, toutes inqualifiables. » C'est l'aveu que fait James Ellroy au début de La malédiction Hilliker où il revient, après Ma part d'ombre paru en 1995, sur l'assassinat de sa mère, Jean Hilliker, alors qu'il n'avait que dix ans. Si Ma part d'ombre se lisait comme un rapport d'enquête sur un meurtre, La malédiction Hilliker se lit comme la confession d'un « serial lover » un rien incestueux.
Toute sa vie, Ellroy a . . .
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