Bertrand Gervais poursuit depuis plusieurs années une carrière de professeur de lettres à l’UQAM, alternant publications scientifiques et romans souvent empreints des questions traitées par l’essayiste. Spécialiste, entre autres domaines, de littérature américaine, le prolifique polygraphe revient à la charge avec un roman sur la guerre, ou plutôt, sur les guerres.
Les petites, personnelles et privées ; les grandes, de portée nationale, voire mondiale, de celles que l’on transpose au grand écran et dont on pleure les victimes à coups de monuments commémoratifs. Son roman . . .
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