Dernier volet d’une trilogie entamée en 2011 avec Le passage et poursuivie en 2013 avec Les Douze, La cité des miroirs vient conclure de façon magistrale cette épopée postapocalyptique née d’un vœu émis par la fille de l’écrivain : la jeune Iris Cronin avait dit à son père qu’elle aimerait lire « l’histoire d’une fille qui sauve le monde ». Sept ans et près de trois mille pages plus tard, c’est chose faite.
Cet enfant-sauveur, c’est Amy Harper Bellafonte. Elle n’avait que six ans lorsqu’elle fut forcée de prendre part au « Projet Noah », une expérience gouvernementale ultrasecrète visant à tester un virus censé accroître la longévité. Mais les choses ont mal tourné : les douze cobayes qui ont reçu le virus se sont transformés en monstres assoiffés de sang, les « viruls ». Ils ont rapidement plongé le monde dans le chaos et d . . .
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