En plus d’analyser les cas de Weinstein, Matzneff et Rozon, tristement bien connus de qui suit les aléas du mouvement #MoiAussi depuis ses débuts, l’autrice trace le portrait d’une soixantaine d’autres agresseurs sexuels notoires. Et elle se pose l’importante question : Justice sera-t-elle enfin rendue ?
« Trois ans après le début de #MoiAussi 2.0, malgré la vaste couverture médiatique et l’omniprésence du sujet dans le flux des réseaux sociaux […], des enquêtes qui stagnent pour des raisons sociopolitiques, des accusatrices accusées, quelquefois condamnées, sont autant de preuves que rien n’est gagné, loin de là », explique d’entrée de jeu la chercheuse féministe québécoise.
Dans « Le crépuscule de quelques dieux », chapitre vraiment bien nommé, elle rapporte les démêlés judiciaires qu’ont eus depuis 2017 64 agresseurs reconnus, condamnés ou pas, provenant de 14 pays différents. Elle les a classés en 4 . . .
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