Le terrorisme, concluent les deux auteurs chevronnés qui dirigent cet ouvrage collectif, est en partie une conséquence de la démocratie. Il est le prix « que l’Occident et plus particulièrement les États-Unis payent pour leur hégémonie ».
C’est surtout vers la fin des années 1960, avec la percée des médias de masse, que le terrorisme « publicitaire », qui produit souvent peu de victimes, mais qui exerce un fort impact psychologique, prend son essor.
« Le registre du terrorisme est politique et psychologique. Ce sont les effets de ses actions sur la psych . . .
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