La voix est jeune, le ton péremptoire, la réflexion décapante, le parcours fascinant. L’orientation fait claquer des couleurs peu affichées dans le débat public, celles d’un conservatisme fringant. « Les clivages politiques hérités de la Révolution tranquille semblent désuets et ils paraissent ne subsister que par la difficulté qu’a ce courant conservateur à parvenir à la pleine maturité intellectuelle et politique. »
Mathieu Bock-Côté lit l’histoire d’un œil neuf. De la présence de Gilles Grégoire près de René Lévesque, il déduit la pr . . .
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