Élevée peu avant l’indépendance tunisienne (survenue en 1956), dans une famille bourgeoise aux valeurs rigides, Farida est forcée de se marier à dix-huit ans à son cousin Kamal, parce que cela arrange les affaires (parfois louches) de son père.Grande lectrice, curieuse, amante de l’œuvre de Victor Hugo, Farida envie son frère qui, lui, peut donner cours à ses penchants intellectuels en rejoignant un collège prestigieux de la capitale.Son mariage est bancal : elle déteste son mari, un alcoolique qui préfère les bras de son amante, mais accouche tout de m . . .
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