Il faut d’abord saluer l’initiative d’Antoine Boisclair qui, avec l’aide d’une dizaine de traducteurs d’ici, nous donne l’occasion d’élargir notre horizon poétique, au-delà des terres québécoises ou françaises. Les lecteurs ne manqueront pas de s’étonner de la richesse de cette poésie souvent narrative, fortement marquée par l’espace. Le titre de cette anthologie, États des lieux, fait d’ailleurs plutôt référence à ces lieux géographiques, imaginaires, voire abstraits que révèle la poésie américaine contemporaine. Il faut donc . . .
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