Après Bluetiful, publié à l’Écrou en 2015, Daphné B. offre à nouveau des bribes de son intimité, à grande puissance.
Presque journal, le livre se divise en cinq parties, traversées par le deuil, une quête et la mélancolie. Les titres des sections évoquent l’ailleurs autant que le quotidien. D’entrée de jeu, les portes sont grandes ouvertes sur une intériorité exaltée, à la recherche de sens, souvent triste et vidée. À travers les segments, la poète se nomme, se dénomme, se renomme : Cheyenne, comme ceux qui parlent rouge, comme . . .
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