Dans son dernier roman, Hugo Hamilton aborde une fois de plus les thèmes de l'identité et de l'appartenance. Ceux qui ont lu ses deux récits autobiographiques, Sang impur (prix Femina 2004) et Marin de Dublin (2007), savent qu'il s'y connaît en la matière, lui dont le père, un farouche nationaliste irlandais, interdisait à sa famille de parler anglais à la maison par fidélité patriotique. Dans Comme personne, il reconstitue le passé de Gregor Liedmann, un homme taraudé par l'incertitude de ses origines.
Les premières pages nous plongent dans les derniers . . .
Pour lire la suite, veuillez vous abonner. Déjà abonné(e) ? Connexion