Dans son célèbre et incandescent pamphlet, A Room for One’s Own, Virginia Woolf défend l’idée qu’il n’y a pas d’accès à la fiction sans indépendance économique et sans une chambre à soi.
S’inspirant de cette conclusion visionnaire, onze écrivaines québécoises et françaises explorent les lieux de l’élaboration de leur écriture et nous entraînent, là, dans une pièce où règnent « la solitude, l’anarchie de mes pensées et la douleur de mon sang » (Annie Lafleur), ici, dans une suite . . .
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