Un soir, Kaï se fait violer par un groupe d’hommes. Elle revient à la maison, « écorchée ». Comment son mari, qui est le narrateur, peut-il réagir face au viol de sa compagne ? Que peut-il faire et dire quand le moindre de ses gestes et chacune de ses paroles sont susceptibles de heurter la personne aimée, d’exacerber sa souffrance ? Le réconfort est-il possible ? Comment, en étant soi-même un homme, rétablir les liens brisés avec la victime ? Car la nuit est longue, premier roman de Sophie Bérubé, raconte cette impuissance . . .
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