On pourrait dire de l’enfer au ciel, au sens propre. Ou encore de la nuit la plus opaque à la lumière du jour. Le jour avec ses nuages, ses intempéries, parfois ses éclaircies, au moins à l’abri du martyre.
Du nadir au zénith, voilà bien résumé le parcours de Bakhita, esclave et sainte. Dans le roman que lui consacre Véronique Olmi, la narratrice qui n’est pas Bakhita épouse son âge. Son innocence pure, son intelligence candide. Elle a sept ans, elle est arrachée à sa famille et à son village du Darfour par des trafiquants . . .
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