À la lecture d’Anarchie de la lumière, quelque chose en moi se soulève, comme chaque fois qu’on tente de me montrer le chemin du vivre : je ne veux pas de votre sagesse ! Laissez-moi avec mes doutes et mes interrogations ! Laissez-moi être noire, déconstructiviste, pessimiste, si ça me chante ! C’est là que je trouve de quoi créer ma vie !
Passé ce moment de révolte – plutôt, dépassé, au sens où je l’évite –, il me faut bien admettre qu’Anarchie de la lumière ne manque pas de qualités, qu’il s’agit même d’un fort beau livre, rempli de ces vérités qui nous aident à vivre (quand on le veut bien). Très affirmatif dans son propos, José Acquelin, en véritable poète, se tient toutefois loin des dogmes. N’écrit-il pas d’ailleurs : « J’en apprends plus de ce que je ne connais pas que . . .
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