L’auteure nous propose deux suites poétiques sous forme de haïkus. Le très beau titre s’inspire, dans une sorte de contraction, de l’intitulé des deux parties du recueil : « L’ombre envolée des oiseaux », évoquant le suicide de l’amoureux du premier grand amour, et « La pulsation des étoiles », rappelant le décès de la mère à la suite d’une maladie dégénérative apparentée à l’Alzheimer.
Soulignons qu’un pulsar est une étoile en fin de vie. Les poèmes avanceront donc autour du thème du deuil . . .
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