Il est rassurant, je dirais même roboratif, de lire un tel essai sous la plume d’un intellectuel québécois de moins de quarante ans.
Alors que le terme « indépendance » a repris sa place dans le discours sociopolitique au Québec, après des décennies de disgrâce sous le joug de la souveraineté-association, Eric Martin voit de meilleures chances d’avenir pour l’indépendantisme si on le conçoit en lien dialectique avec le socialisme. Définitivement optimiste quant à la probabilité d’accession du Québec au statut d’État-nation . . .
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