Des admonestations francophiles du frère Untel jusqu’à la sortie de Marc Cassivi contre les puristes échaudés par les sonorités d’un franglais à la mode, la langue demeure un sujet particulièrement sensible au Québec, une pomme de discorde que se disputent âprement les experts tant patentés qu’improvisés, et ce, depuis maintenant plusieurs décennies.
Souvent, au Québec, les débats sur la langue dépassent les simples dimensions linguistiques et normatives pour rejoindre le terrain fondamental de l’identité collective. En ce sens, tout . . .
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