« Ressurgissant, l’enfance réunit ma fin et mon commencement », écrit d’entrée de jeu Robert Lalonde dans ses plus récents carnets et à laquelle le titre1, emprunté à Saint-Exupéry, nous renvoie. La reconstruction du paradis terminée, Lalonde nous entraîne à sa suite dans la découverte de ses nouveaux territoires, le chien toujours à ses trousses lorsqu’il ne le devance pas, les deux faisant la paire comme de joyeux complices qui mordent d’autant plus goulûment à la vie qu’ils la savent de plus en plus fragile.
« La nature voit . . .
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