L’histoire d’une ville érigée pour satisfaire les besoins d’une compagnie extractiviste ne peut être qu’une histoire d'horreur. Dans Voyage au bout de la mine1, Pierre Céré expose en détail comment, de la Noranda Mines dans les années 1920 à Glencore aujourd’hui, la population de Rouyn-Noranda paye de sa santé la prospérité de la grande entreprise.
Comme le souligne Alain Deneault dans sa préface, Voyage au bout de la mine met en lumière « l’exploitation polluante et . . .
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