Écrire, comme peindre ou toute autre activité créatrice, vise avant tout à répondre à un besoin, à une exigence, voire à combler un manque existentiel. S’y consacrer requiert un engagement personnel inconditionnel. Un engagement de tous les instants.
Lorsqu’en apparence – et peut-être davantage dans ces cas-là – on semble libéré de ce besoin viscéral, de ce désir d’une vie augmentée que seule la confrontation avec ce qui est plus grand que soi peut combler, ce besoin n . . .
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