Il faut collectionner les pierres qu’on vous jette.
C’est le début d’un piédestal.
Hector Berlioz
Voici venir la fin. Pour l’instant. C’est la mienne. C’est la tienne. Surtout celle de l’Autre, cette persistante présence qui pèse sur les réalités, cet instant conquérant de l’éternité relative dans laquelle toute civilisation s’enlise avant de s’évaporer. Parfois quelques valeurs essentielles et naturelles s’évadent, s’élèvent et contaminent certaines cervelles géniales en équilibre précaire sur la passerelle du temps.
Pour commencer, je n’ai rien à dire. Tout à traduire. Ou à décrire sans rien crier au cœur solitaire. Car dans mon pays, le cœur est toujours ailleurs, en train de se déliter dans une médiocrité mondialiste suicidaire, sans changer au préalable les draps des criminels culturels aux taches de sens indélébiles. Quant au vrai sang civilisationnel . . .
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