Chez Catherine Voyer-Léger, il y a d’abord Elle, sa mère toute-puissante, mais tellement démunie, puis Elle, sa fille tellement démunie, mais toute-puissante. Dans deux œuvres récentes, l’autrice raconte ces trois générations de femmes dont les relations se vivent autant dans l’interdépendance (Nouées1) que dans la mobilité (Mouvements2).
« Un appartement frappé par une tornade. Une tornade de 15 mois. Une tornade châtain avec un regard foncé comme ces ombres d’été creusées d’un trop-plein . . .
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