Hasard troublant, synchronicité préoccupante, les voix d’autrices disparues, dont Etty Hillesum et Edith Bruck, toutes deux déportées avec leur famille vers les camps d’extermination, viennent nous rappeler que ce que l’on croyait à jamais éradiqué peut ressurgir à tout moment.
Extraite du Journal d’Etty Hillesum, jeune intellectuelle née dans une famille juive à Amsterdam, l’adaptation théâtrale, Etty Hillesum, voix dans la nuit1, comporte trois actes. Trois mouvements . . .
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