De l’avis même de son autrice, l’essai est explosif. Dans le milieu universitaire aux États-Unis règne un paradoxe extrême. Ou le sexe y est récréatif et libertaire, ou il devient le lieu de tous les dangers. Les idéologues, dominés par les sentiments, n’ont nul besoin de débattre de leurs perceptions. Impossible de remettre celles-ci en question ni de les soumettre à un examen. Les processus d’enquête sur les comportements sexuels inappropriés sont inquisitoriaux. L’hystérie impose sa loi. Autrement dit, rien . . .
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