Trois recueils de contes qui sont aussi trois des plus grands livres de l’histoire de la littérature québécoise sont issus de la Gaspésie, ont trouvé leur inspiration dans cette région maritime : Contes pour un homme seul (1944) d’Yves Thériault, puis Contes du pays incertain (1962) et Contes anglais (1964) de Jacques Ferron1.
Victor-Lévy Beaulieu observait il y a vingt ans : « Dans Rosaire, Jacques Ferron a écrit . . .
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