L’un s’est retiré dans le Sud-Ouest de la France pour cultiver son jardin, activité à laquelle il n’avait jamais cessé d’accorder la plus grande importance, et poursuivre l’écriture de notes de lecture, d’impressions diverses, de poèmes, de textes de fiction, dans lesquels se reflète, avec une rare acuité, sa vision du monde et de la littérature ; l’autre poursuit les réflexions entreprises dans Aimer, enseigner, son précédent essai, et se pose en défenseur d’une école libérée de tout dogme utilitariste et de l’autonomie des enseignants. Complices en pensée, comme longtemps ils l’ont été dans l’animation de la revue Liberté, Jean-Pierre Issenhuth et Yvon Rivard ont fait paraître, le premier à titre posthume, deux essais dans lesquels on retrouvera la manière propre à chacun d’appréhender le . . .
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