J’aime Joséphine Bacon*. Nous sommes nombreux à l’aimer.
Je suis un de ses lecteurs et non un spécialiste de son œuvre. Comment prétendre tout savoir de la voix intime et impérieuse d’une poète ?
Peut-on encore simplement aimer et se tenir loin des discours qui pèsent sur les poèmes et empêchent de les voir ?
Joséphine Bacon appartient à cette catégorie de poètes qui accueillent les lecteurs comme des égaux. Elle ne cherche pas l’adulation.
Elle a . . .
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