Tous ceux et celles qui ont observé la société québécoise de 1968 peuvent sans doute dire aujourd’hui que cette année fut celle de tous les déclics. À cause des Belles-sœurs d’abord, de L’Osstidcho ensuite, puis de la conquête de la coupe Stanley par les Canadiens, du 500e but de Jean Béliveau, de l’élection de Pierre Elliott Trudeau, de la mort de Daniel Johnson à Manic-5, de la fondation du PQ par René Lévesque, de l’abolition du Sénat et de . . .
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