Ce n’est pas très original, mais comme bien des lecteurs dans le monde, Ulysses de James Joyce est celivre que j’ai commencé il y a longtemps et que je n’ai pas encore fini.
Quand je pense à ce roman, un vent d’Irlande souffle dans ma tête. Je vois des personnages que j’ai l’impression de connaître. Ils sont dans une tour Martello. Le premier s’appelle Buck Mulligan et l’autre, Stephen Dedalus. Leurs noms leur donnent déjà de l’épaisseur. Mulligan se rase devant un miroir, en camisole. Les bretelles de son pantalon pendent de chaque côté de ses hanches. Il lance à Dedalus des remarques drôles et ironiques, se moque de lui avec panache. Dedalus déjeune en l’écoutant. Le vent est froid, dehors, mais le soleil entre à flots par la fenêtre ouverte.
C’est le matin et la baie qu’on aperçoit au loin est un grand miroir argenté. Tout à l . . .
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